Nous sommes sérieux sans nous prendre au sérieux, car l’humour et la performance se conjuguent quotidiennement à l’individuel et au collectif ! L’humour est un ingrédient extrêmement efficace pour dédramatiser des situations complexes et souder un groupe de personnes, permettant ainsi de sortir du côté « lisse » des interactions quotidiennes.

Nous disons ce que nous faisons et nous faisons ce que nous disons. La probité et l’honnêteté doivent être totales dans nos environnements professionnels. Cette loyauté se manifeste par la sincérité de nos convictions mais aussi par le respect inconditionnel des personnes, des organisations, des règles, procédures et objectifs.

La pratique de la bienveillance envers les autres nous aide à la développer envers nous-même. Il faut savoir se poser pour écouter ses attentes, sa fatigue, ses émotions, ses déceptions, ses espoirs… Être empathique et bienveillant envers soi, aide à mieux se connaître, à mieux s’accepter, à mieux se gérer, à mieux progresser, bref à être un(e) meilleur(e) compagnon/compagne pour soi-même. Quand on est bien avec soi, ça nous donne en tant que dirigeant ou manager, de la disponibilité psychologique pour être bienveillant envers les autres. Les dirigeants, les managers et par voie de conséquence l’organisation ont tout à gagner à pratiquer la bienveillance.

Bienveillance et EXIGENCE sont souvent mal comprises en entreprise. On les confond en général avec la gentillesse. Or à notre sens, c’est assez différent. Être gentil, c’est vouloir faire plaisir à l’autre, répondre à ses attentes. Mais, selon nous, être bienveillant consiste avant tout à faire l’effort de garder, quelles que soient les circonstances, un regard positif et un préjugé favorable sur l’autre ou sur une situation.
Exigence et bienveillance, loin d’être antinomiques, sont complémentaires et intimement liées. Un surcroît de bienveillance permet même davantage de « saine » exigence. Les deux doivent aller de pair. Tout est question de dosage et d’équilibre. La bienveillance sans exigence est de la complaisance mais l’exigence sans bienveillance mène à la persécution et au harcèlement dans des cas extrêmes …

Le respect est LA valeur cardinale, clé de voûte de la bienveillance et de l’exigence, qui prend une place de plus en plus déterminante en entreprise. Le respect permet de reconnaître, d’accepter, d’apprécier et de mettre en lumière les qualités de chacun de nos collaborateurs. C’est aussi une marque d’attention, de considération et de politesse qui s’exprime à tout moment par l’écoute, l’explication et le dialogue.
Porter de la considération à autrui, lui témoigner des égards indépendamment de sa place dans l’entreprise, c’est une manifestation élémentaire de courtoisie et de respect. Par humanité et bonne éducation, et aussi par intérêt – le respect favorisant la fidélité, la confiance, la motivation, et finalement la performance – dirigeants, managers et collaborateurs déploient de nouvelles qualités d’écoute et gratifient leurs collaborateurs des mêmes marques d’estime que les personnes plus importantes de leur entourage.

La constance et la ténacité sont des gages de performance. Malgré les obstacles, il est important de rester engagé et concentré, comme une équipe de foot jouant un match décisif. Le découragement ne doit pas vous envahir. Lorsque l’on fait face à certaines difficultés, il faut savoir redoubler d’efforts et de persévérance pour réussir.
On peut comparer cela à une forme d’endurance qui permet de poursuivre un projet ou une activité pendant des mois. La patience est souvent exigée !

Booster son énergie vitale permet de gagner en efficacité au travail ! Parfois, cette énergie s’impose à nous avec élan, comme ces matins où, dès le réveil, nous avons envie de tout vivre à fond. A d’autres moments, elle nous manque et son absence nous pèse cruellement : le flux de vitalité qui donne du goût, du parfum et des couleurs à ce que nous vivons a disparu.
Notre énergie vitale n’est pas illimitée ! Les valeurs développées précédemment permettent de respecter son écologie de vie et d’éviter que cette énergie vitale, pourtant si indispensable au quotidien, soit laminée par le stress, la surcharge chronique de travail, les collègues ou les managers anxiogènes et les émotions toxiques.